samedi 25 juillet 2015

Brights lights, big city

Brights lights, big city
Jay Mcinerney
Éditions point

Tu habites à New-York, dans les années 1980. Tu participes activement à la folie des boîtes de nuit et tu abuses de la cocaïne. Ton emploi au Magazine est tout sauf épanouissant. D'ailleurs, c'est dingue que tu ne te sois pas encore fait renvoyer. L'amour de ta vie t'a quitté et depuis tu cherches mine de rien une personne qui doit impérativement se reconstruire: toi-même.

C'est assez dur de définir le genre de ce roman: voyage intérieur (peut-être), questionnement existentiel (sans doute), chronique new-yorkaise (pas sûr)? Le style est assez particulier car toute l'histoire est racontée à la deuxième personne. Tu, tu, tu... J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire et surtout du mal à y rester. Le personnage en recherche perpétuelle (de quoi au juste?) et le cadre sont un peu oppressants (ne pas lire dans le métro si vous êtes claustrophobe). Pourtant le livre et le personnage sont très touchants, et en lisant la fin on se dit qu'on a bien fait de s'accrocher.

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